La vérité cachée #3


Hotep mes soeurs et frères
Dans cette vidéo, je vous révèle l’origine exacte de la médécine, mais aussi du culte des crânes chez les Bamilékés et d’autres ethnies de cette planète. Evidemment tout ceci reste dans la ligne directrice que j’ai choisie pour cette année. C’est à dire : la réincarnation, l’initiation et la loi des causes et des conséquence. 
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L’initiation en Egypte pharaonique avait pour objet.
1 – Soit les mystères du monde (le soleil, les planètes, les phénomènes atmosphériques, les règles de la nature…)
2 – Soit les mystères se trouvant à l’intérieur de l’homme, chaque organe correspondant à un champ de force magnétique. Par exemple : le fois refermant en lui les possibilités de jupiter, le coeur celles du soleil, les poumons, celles de mercure… ceci nous fait comprendre la profonde connaissance du corps humain née en Egypte et qui donna naissance à l’art de l’embaumement des cadavres et plus tard, à la médecine
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La technique égyptienne de la survie (la momification, l’hybridation) décrite par Hérodote (le père de l’histoire, d’après Cheikh Anta Diop, le plus grand savant du 20ème siècle) comporte une serie d’opërations, succéfant à un premier lavage du corps, coutume commune à pratiquement toute l’humanité.

L’éviscération crânienne
Il s’agit de l’ablation du cerveau par la voie nasale au moyen d’une tige de métal (bronze) recourbée, que l’opérateur enfonçait dans la narine gauche de la façon à perforer le toit des fosses nasales (ethmoïde) et à accéder directement à la cavité crânienne…

L’éviscération abdominale
Elle était réalisée après ouverture du flanc gauche effectuée à l’aide d’un couteau d’obsidienne (la « pierre d’Éthiopie » d’Hérodote). Par l’ouverture, on extirpait les poumons, l’estomac et les intestins, le foie. Ces organes étaient lavés, déshydratés à l’aide de natron, bandelettés, puis, selon les époques, déposés dans des vases (les vases canopes) ou remis dans la cavité thoraco-abdominale, ou encore placés entre les membres inférieurs du défunt. Le cœur, considéré comme l’organe essentiel, siège des sentiments, des sensations et de l’élan vital, était laissé en place. Si on l’avait enlevé par mégarde, on le replaçait soigneusement dans le thorax

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